Tarbes. L'ex-agent SNCF qui vit en camping-car reste privé de retraite

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Re: Tarbes. L'ex-agent SNCF qui vit en camping-car reste privé de retraite

par Anonyme 3232 » 13 nov. 2017, 15:11

Bonjour,
Un peu "raide" tout ça!
je me mets à sa place il a travaillé toute sa vie, et au moment de prendre un repos du "on lui coupe les vivres" pour cette raison.
En fait ton argent, celui de tes cotisations, ne t’appartient pas!
Il est géré par d'autres personnes et pour que tu le touches il te faut rentrer dans le cadre qu'ils ont définis.
Si tu ne rentre pas dans ce cadre, walou, makache!

Tarbes. L'ex-agent SNCF qui vit en camping-car reste privé de retraite

par patou » 13 nov. 2017, 12:04

Francis Cazabat, ancien de la SNCF qui a pris sa retraite dans les Hautes-Pyrénées, n’a pas reçu sa retraite du mois d’octobre parce que son adresse de domiciliation, une poste restante qu'il loue pour vivre dans son camping-car, ne serait pas valide. Malgré un appel à l’aide, les choses n'ont toujours pas bougé pour lui.
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Le flou autour de la situation

Le retraité de 64 ans a fait appel à des assistantes sociales de la SNCF à Tarbes et à Toulouse, qui n’ont pas pu faire bouger les choses. Ensuite, il s’est rapproché des syndicats. La CGT a envoyé un de ses délégués au siège de la caisse de retraite : il a pu en savoir plus sur sa situation.

« Ils nous ont expliqué qu’ils respectaient la loi. Cette loi, c’est un décret qui date de juin 2016 et qui soulignerait que l’adresse de domicile n’est pas valide quand il s’agit d’une poste restante », explique Francis. Il contacte alors le ministère des Affaires Sociales et de la Santé, qui a émis ce décret et rencontre le défenseur des droits, Élisabeth Lucas : personne ne comprend la décision de la caisse de retraite.

De son côté, la caisse de prévoyance et de retraite du personnel de la SNCF assure que le dossier de Francis Cazabat est suivi. Mais elle n’a pas voulu donner les raisons de cette décision. « Il nous manque des éléments », a-t-elle simplement affirmé.

Continuer à interpeller

Francis ne compte pas attendre une explication concrète les bras fermés. Il va recontacter les assistantes sociales de Tarbes et interpeller la cellule de médiation du ministère de la Santé.

« Je ne reçois pas mon argent et personne ne fait rien. Ça va être vraiment la galère si je ne suis pas payé », conclut Francis, démuni.

Source:
Actualités - LaDepeche.fr

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